Samedi 16 juin 2012, j'ai participé ,une nouvelle fois, à la course cyclotouriste et cyclosportive dénommée l'Ardéchoise, qui se déroule chaque année ... en Ardèche !
Si j'ai tardé à faire un reportage sur cette aventure, ce dont s'étonne mon ami Michel, c'est probablement que j'en suis encore épuisé ! J'ai mis près de 11 heures pour boucler le parcours des Boutières (125 km), alors qu'il m'avait fallu 3 heures 15' de moins, l'an passé, pour réaliser le même trajet. Bref, ce fut un enfer, avec des crampes, des km parcourus en poussant mon vélo, et même des pleurs !
Je vous raconterai ça dans un prochain épisode, dès que j'aurai pu faire le montage des images vidéo prises à cette occasion. En attendant, voici enfin le petit reportage vidéo réalisé l'an passé, incluant le repas pris par l'équipe (OEPDT) et ses supporters, lors de la veillée d'armes, ainsi que le repas du samedi soir, après la course.
Voici, ensuite, une reportage vidéo sur l'Ardéchoise 2012 (attention, il faut cliquer sur le lien sous le premier article, et non pas sur la vidéo qui se présente en haut de la page).
Les photos proposées par le site VéloVélo sont très sympas aussi, à mon goût. On y voit, notamment, la mascotte de la course, le centenaire Robert Marchand (détenteur du record du monde de l'heure pour les centenaires), qui a parcouru 85 km sans le moindre souci.
Enfin, sur le site de l'Ardéchoise, vous trouverez des tas d'informations diverses, comme les classements. Notre équipe, OEPDT, a d'alleurs terminé 24e (elle aurait même terminé 23e si le parcours de mon fils Clément - 85 km - avait été comptabilisé par l'organisation : mauvaise saisie lors de l'inscription ?) Je tiens à féliciter particulièrement Anne-Laure, première femme à jamais participer au sein de l'équipe OEPDT, et qui, malgré une préparation très très légère, a parcouru vaillament 85 km, à une vitesse moyenne bien supérieure à la mienne.
Rendez-vous l'an prochain. J'espère que mes amis (le Michel précité, Jean-Luc, Benoît, François, Christian, 2 ou 3 Philippe, Laurent, Pierre, etc.) auront pitié de moi et ne me laisseront pas seul cette fois-ci.